« Ce qui est vrai est beau »

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    « Un silence habité. L’esprit des chaises et des fauteuils… les absents n’ont pas toujours tort ! »

    « L’empreinte du temps suspendu »

    « Que de merveilles ici ! que de lumières si séduisantes qui captivent le regard et éblouissent l’esprit. Félicitations Christine »

    « Magnifique travail de couleurs, matières… appel à la rêverie, à l’absence et à la poésie. Merci pour ce voyage intérieur… »

    « Encore une fois tes toiles confirment qu’il faut vivre poétiquement sur la terre »

    « Ce qui est vrai est beau »

    « Du mystère, l’absence, les blessures, la beauté et la lumière de tes pinceaux Christine. Magnifique »

    « Bravo pour votre monde plein de lumières et tendresse »

    « Ces lieux de famille ou tout le monde finit par se croiser et se suivre sans même le vouloir »

    « Christine Trouillet fusionne au profond l’art et la sensibilité. Étreinte sacrale du désir et de la peinture, de la lumière et du sol. Chez elle, les lieux de vie creusent l’espace et l’absence. Sont présence lointaine d’espace et d’absence. Chez elle, les couleurs ont toujours déjà déserté les apparences. Le blanc peint est un territoire de sourde inquiétude, et de tension souveraine. Les traces, les stries, et les griffures s’accumulent. On dirait des cicatrices d’étendue. Les dehors du monde ont disparu. La blancheur passante, sur fond de ténèbres, s’abandonne en grand silence aux cruelles grisailles de l’existence… Âpre et brûlante, l’insidieuse peinture de Christine Trouillet prend la réalité à la gorge, sur fond d’ultime séparation, et de poignante nostalgie. Impact implacable, hors durée, et nu. Tout semble en suspens. Le souffle des choses a disparu. Tous les lieux, ici, sont un seul lieu, habité d’âme. Il n’y a d’autre endroit que celui où le corps a pris place. Mais les corps de vie se sont éloignés, et la peinture a pris toute la place. Chez Christine Trouillet, l’émotion la plus nue et la plus forte s’empare à vif de qui ose regarder et se laisser regarder par ces signes habités. Le lit épars, le fauteuil ouvert comme une blessure, et la fenêtre masquée de ténèbres, sont en creux des symboles évidés de l’être. Peinture exigeante et première de l’imminence et de la proximité. Imminence du drame aigu de l’existence, au bord ultime de la mélancolie et des secrets. Proximité cruelle de la présence, énigmatique et disparue, tout au bout des doigts qui pourraient toucher, tout au bout des regards qui savent voir que tout fait demeure au corps absent. Le lit est un horizon fragile, la fenêtre un miroir aveugle, et le fauteuil, fait tache d’opacité, installé en croix devant la lumière,… A jamais inassouvies, les rêveries du désir étendent leurs vagues charnelles sur la plaine adoucie des draps. Fabuleux paysage d’intimité. C’est l’autre en soi que cherche la peinture, dans l’autre de l’espace, et dans la fusion-effusion des non-couleurs. Et la brutalité, comme le sang, s’est retirée. L’art fait remède au réel, et vit de l’éloignement salutaire de l’impensable destin. Belle et vraie peinture, décantée et classieuse, retenue et discrète, dense et souterraine. Si la gamme chromatique est resserrée, c’est pour mieux cerner le drame latent de sa saisissante scénographie. Christine Trouillet délivre une intense parole de vie où l’âme des objets peints s’unit à jamais à l’éphémère et tendre brûlure de l’être. » CN

    « Habiter le monde. Compagnons du quotidien, témoins des instants les plus intimes et familiaux de la vie, les tables, les chaises, les fauteuils, les lits, les linges, les baignoires, tous ces objets inanimés ne semblent pourtant « inhabités » que pour mieux évoquer ou installer une présence humaine immédiate et palpable. Parce que l’œuvre de Christine Trouillet est à la peinture ce que les poèmes de Hölderlin sont à la poésie: « une manière d’habiter poétiquement le monde. » Et c’est ainsi que, dans ce tableau, l’absence du corps nu de Vénus en intensifie la présence imaginaire et sublimée. » PS

    « Je viens de visionner ton site Une superbe réalisation . Un fond musical excellent. Tes paroles sonnent juste. On ressent toute ta sensibilité, surtout en parlant de ton père. Ton enfance est là devant nous , presque à nu. Tu a des choses secrètes à dire et tu l’exprime, avec toute ta sensibilité , de façon artistique , dans et par ta peinture. Merci , Bravo. Bisous. » Charles